Le listing par employé est un tableau contenant une ligne pour chaque employé et pour chaque jour avec le temps de travail effectué.
Le listing par société est un tableau contenant une ligne pour chaque société et pour chaque jour avec le temps de travail reçu.
Le listing par mission est un tableau contenant une ligne pour chaque mission et pour chaque jour avec le temps de travail reçu.
L’URL de pointage vous permet de personnaliser l’URL vers laquelle les employés doivent se rendre pour pointer.
Ceci n’est pas encore disponible.
La page Internet de pointage vous permet de personnaliser la page web sur laquelle les employés doivent se rendre pour pointer. Vous devez donc créer votre propre page de pointage (saisie code employé, choix type pointage, etc.) et rediriger vers l’URL de pointage myTime (voir la documentation pour plus de détails).
Liste des sociétés affichées et gérées (si le droit de gestion est activé) par l’employé. Sélectionnez :
Toutes les sociétés
pour afficher à l’employé toutes les sociétés du compte.
Les sociétés affectés à l’employé
pour n’afficher à l’employé que les sociétés qui lui sont affectées.
De plus côté manager, sur les différents formulaires, après sélection de l’employé, la liste des sociétés sera mises à jour en fonction de ce paramètre (si affichage uniquement des sociétés affectées à l’employé, les autres sociétés ne seront pas sélectionnables).
Liste des missions affichées et gérées (si le droit de gestion est activé) par l’employé. Sélectionnez :
Toutes les missions
pour afficher à l’employé toutes les missions du compte.
Les missions affectés à l’employé
pour n’afficher à l’employé que les missions qui lui sont affectées.
Les missions des sociétés affectées à l’employé
pour n’afficher à l’employé que les missions des sociétés qui lui sont affectées.
De plus côté manager, sur les différents formulaires, après sélection de l’employé, la liste des missions sera mises à jour en fonction de ce paramètre (si affichage uniquement des missions affectées à l’employé, les autres missions ne seront pas sélectionnables).
Si activé, une anomalie sera ajoutée si la société/mission associée au pointage de début ne correspond pas à la société/mission associée au pointage de fin.
Si activé, les pointages seront associés à une société, et la société associée sera visible sur le listing.
Cela permet par exemple d’obtenir des listings par société pour connaître les heures travaillés pour chaque société.
Manière d’associer les pointages à une société. Sélectionnez :
Manuellement
pour associer les pointages à une société via la sélection de la société lors du pointage (ou la saisie du code société sur le clavier téléphonique si pointage par téléphone),
Automatiquement
pour associer les pointages à une société de façon automatique (via le numéro appelant, géolocalisation, adresse IP…), sans sélection de la société lors du pointage.
Si activé, la saisie ou sélection de la société sera obligatoire lors du pointage.
Si elle n’est pas obligatoire, l’employé pourra ignorer la saisie, le pointage sera enregistré sans société correspondante.
Si activé, la recherche de la société associée automatiquement se fera d’abord via le planning. Si aucune planification avec société n’est trouvée, la recherche se fera via les données du pointage (géolocalisation, adresse IP, numéro de téléphone appelant…).
Sinon, la recherche via le planning se fait après la recherche via les données du pointage.
La vérification de la société lors du pointage permet de contrôler la société sélectionnée lors du pointage. Cela est utile pour contrôler une erreur de sélection ou si l’employé ne respecte pas le planning par exemple.
Manière de vérifier la société sélectionnée lors du pointage. Sélectionnez :
Via les sociétés affectées à l’employé
pour n’autoriser que les sociétés affectées à l’employé,
Via le planning
pour n’autoriser que la société planifiée pour l’employé au moment du pointage.
Si activé, la société sera obligatoire lors de l’ajout de pointages manuels pour cet employé.
Si activé, les pointages seront associés à une mission, et la mission associée sera visible sur le listing.
Cela permet par exemple d’obtenir des listing par mission pour connaître les heures travaillés pour chaque mission.
Manière d’associer les pointages à une mission. Sélectionnez :
Manuellement
pour associer les pointages à une mission via la sélection de la mission lors du pointage (ou la saisie du code mission sur le clavier téléphonique si pointage par téléphone),
Automatiquement
pour associer les pointages à une mission de façon automatique (via le numéro appelant, géolocalisation, adresse IP…), sans sélection de la mission lors du pointage.
Si activé, la saisie ou sélection de la mission sera obligatoire lors du pointage.
Si elle n’est pas obligatoire, l’employé pourra ignorer la saisie, le pointage sera enregistré sans mission correspondante.
Si activé, la recherche de la mission associée automatiquement se fera d’abord via le planning. Si aucune planification avec mission n’est trouvée, la recherche se fera via les données du pointage (géolocalisation, adresse IP, numéro de téléphone appelant…).
Sinon, la recherche via le planning se fait après la recherche via les données du pointage.
Si activé, le nom de la société est affiché en plus du nom de la mission sur la liste déroulante permettant la sélection de la mission lors du pointage (exemple : « Société A > Mission 1 »). Sinon, seul le nom de la mission est affiché sur la liste déroulante (exemple : « Mission 1 »).
Cela ne concerne pas le pointage par téléphone parce que dans ce mode de pointage, l’employé tape le code mission sur le clavier téléphonique pour sélectionner la mission associée au pointage.
La vérification de la mission lors du pointage permet de contrôler la mission sélectionnée lors du pointage. Cela est utile pour contrôler une erreur de sélection ou si l’employé ne respecte pas le planning par exemple.
Manière de vérifier le code mission sélectionnée lors du pointage. Sélectionnez :
Via les missions affectées à l’employé
pour n’autoriser que les missions affectées à l’employé,
Via le planning
pour n’autoriser que la mission planifiée pour l’employé au moment du pointage.
Via les sociétés affectées à l’employé
pour n’autoriser que les missions correspondantes aux sociétés affectées à l’employé.
Si activé, la mission sera obligatoire lors de l’ajout de pointages manuels pour cet employé.
Plage horaire comptant comme les heures de nuit. Les heures de nuit correspondent aux heures de travail effectuées comptant comme heures de nuit, et affichées comme telles dans les listing.
Manière de comptabiliser les heures de nuit effectuées pendant le week-end. Choisissez :
Dans les heures de nuit
pour les comptabiliser les heures de nuit uniquement.
Dans les heures de week-end
pour les comptabiliser les heures de week-end uniquement.
Dans les heures de nuit ET de week-end
pour les comptabiliser à la fois les heures de nuit et dans les heures de week-end. Dans ce cas, les heures de nuits effectuées pendant le week-end sont comptabilisées 2 fois. Ces heures ne seront par contre pas dupliquées dans le total des heures travaillées/payées. Ceci est utile s’il y a une double majoration pour ces heures-là.
Liste des jours de la semaine comptant comme les heures de week-end. Les heures de week-end correspondent aux heures de travail effectuées comptant comme heures de week-end, et affichées comme telles dans les listings.
Liste des jours fériés comptant comme les heures de jours fériés. Les heures de jours fériés correspondent aux heures de travail effectuées comptant comme heures de jours fériés, et affichées comme telles dans les listings.
Les horaires de travail variables de l’employé sont remplies via le planning. Elles sont utilisées si l’employé a des horaires de travail qui changent en fonction des jours de la semaine et des mois. Vous pouvez lui ajouter des planifications uniques ou récurrentes.
Liste des horaires de travail fixes de l’employé, si l’employé travaille toujours pendant les mêmes horaires quelque soit ses jours de travail. Si indiquées, cela permet d’éviter de remplir le planning au fur et à mesure.
Les
Jours travaillés
sont utilisés pour connaître les jours de présence des employés sur le lieu de travail, pour afficher les repos et absences dans les listings, pour le calcul des heures de travail théorique / supplémentaires / manquées (si l’employé travaille plus que la durée théorique ou si l’employé ne pointe pas pendant les jours travaillées). Si l’employé ne pointe pas un jour travaillé, la journée sera marquée comme
Absent
au lieu de
Repos
. Si les jours travaillés ne sont pas renseignés, toutes les journées sans pointage seront marquées comme
Repos
. Sélectionnez :
Jours depuis les horaires de travail fixes ou variables
pour prendre comme jours travaillés les jours correspondants aux horaires de travail fixes ou variables (planning). Si l’employé s’absente (ne pointe pas), les heures de la journée non travaillées seront comptabilisées dans les heures manquées. Cette option est utile si les horaires de travail fixes ou variables sont renseignées pour cet employé.
Jours si pointage
pour ne prendre comme jours travaillés que les jours où l’employé a pointé. Attention, si l’employé s’absente (ne pointe pas), les heures de la journée non travaillées ne seront pas comptabilisées dans les heures manquées, car avec cette option, une journée sans pointage est considérée comme non travaillée. Cette option est utile si vous ne souhaitez pas renseigner les jours de congés / arrêts de l’employé.
Jours personnalisés
pour prendre comme jours travaillés les jours cochés. Cette option est utile si vous ne souhaitez pas renseigner des horaires de travail fixes ou variables pour cet employé.
Si activé, les journées de travail sont automatiquement ajoutées : aucun pointage n’est nécessaire pour l’employé. La durée de travail est comptabilisée automatiquement en fonction des horaires de travail ou de la durée théorique de travail. Ceci est utile pour les employés qui ne pointent pas comme les cadres ou personnel avec forfait jour.
Si activé, il ne sera pas possible d’ajouter des planifications fixes et variables (uniques ou récurrentes) aux mêmes horaires.
Le délai autorisé pour les pointages correspond au nombre de minutes pendant lesquelles l’employé peut pointer avant ou après l’heure théorique (planning) de pointage. Ce délai est utilisé pour la vérification de l’employé dans le planning lors du pointage, pour les alertes et pour l’affichage des pointages manqués. Si l’employé ne pointe pas durant l’heure théorique (planning), une alerte est envoyée (si activée) et une erreur sera affiché sur la liste des pointages manqués.
La vérification des horaires de travail lors du pointage permet de s’assurer que l’employé a pointé en respectant ses horaires de travail. La plage horaire de pointage autorisée est calculée en fonction de ses horaires fixes ou variables et du paramètre Délai autorisé pour les pointages
. Par exemple si l’employé doit pointer son arrivée à 09h00 et son délai autorisée pour l’arrivée est de - 00:15:00 à + 00:10:00, son pointage sera validé s’il a lieu entre 08h45 et 09h10.
Types de pointage concernés par la vérification. Si rien n’est coché, rien ne sera fait pour aucun type de pointage même si la liste des actions à faire n’est pas vide.
Si l’employé a pointé en dehors de ses horaires de travail, vous pouvez choisir les actions à faire. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
L’ajustement automatique de l’heure de pointage permet d’ajouter ou de retirer quelques secondes (ou minutes) à l’heure de pointage lors du pointage, de façon automatique. Par exemple, si l’employé doit se rendre jusqu’à son poste de travail puis allumer son ordinateur pour pointer, vous pouvez choisir de retirer automatiquement 5 minutes à l’heure de pointage si vous considérez que cela fait partie de son temps de travail.
L’activation de l’enregistrement de l’horodatage du planning à la place de l’horodatage du pointage lors du pointage permet de forcer l’horodatage du pointage, et de mettre celui du planning, si le pointage correspond à une planification et s’effectue pendant le laps de temps autorisé. Exemple : si une planification est enregistrée de 08h00 à 16h00, et qu’un pointage est effectué à 08h04, l’heure du pointage sera fixée à 08h00.
Si désactivé, l’horodatage réel du pointage est enregistré.
L’enregistrement de l’horodatage du planning peut être activé pour chaque pointage ou dans certains cas seulement. Sélectionnez :
Pour chaque pointage
pour mettre l’horodatage du planning systématiquement pour chaque pointage,
Dans certains cas
pour mettre l’horodatage du planning dans certains cas : si le cas est vérifié, l’horodatage sera celui du planning, sinon l’horodatage sera l’horodatage réel du pointage. Il faut cocher les cas concernés dans la liste en dessous.
La vérification des absences de pointage permet de vérifier pour chaque horaire de travail fixe ou variable (planning) si l’employé a bien pointé.
Si l’employé n’a pas pointé, vous pouvez choisir les actions à faire. Si rien n’est coché, rien ne sera fait. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Ajouter le pointage automatiquement
pour ajouter le pointage automatiquement en fonction du planning.
Types de pointage concernés par le non-pointage. Si rien n’est coché, rien ne sera fait pour aucun type de pointage même si la liste des actions à faire n’est pas vide.
L’envoi d’une pré-alerte pour non-pointage permet d’envoyer une alerte à l’employé qu’il n’a pas encore pointé avant que les actions en cas d’absence de pointage ne soient exécutées. Ceci permet de prévenir l’employé en cas d’oubli et ainsi éviter de déranger son superviseur/manager s’il a simplement oublié de pointer.
Le seuil de déclenchement de la pré-alerte est la durée précédente le seuil de déclenchement de l’alerte principale.
Les journées en télétravail sont particulières pour l’employé et pour pointer. Lors de journées en télétravail, vous pouvez demander à l’employé de pointer ou pas. Sélectionnez :
Non
pour interdire les pointages pendant les jours en télétravail,
Facultatif
pour autoriser l’employé à pointer,
Obligatoire
pour obliger l’employé à pointer. S’il ne pointe pas, une alerte de non-pointage est déclenchée de la même manière que pour les jours de travail classiques.
Si l’employé peut ou doit pointer lors d’une journée en télétravail,
aucune vérification sur la validité du lieu pointage ne sera effectuée (numéro appelant, adresse IP, géolocalisation…) même si c’est activé dans les paramètres pour les journées normales.
Si l’employé pointe alors que l’option Non
est sélectionnée, le pointage sera refusé et sera affiché dans les pointages en erreur. Vous pouvez en plus choisir de recevoir une alerte ou non.
Liste des méthodes de pointage autorisées pendant les journées en télétravail. Au moins une méthode de pointage doit être autorisée.
Les modes de pointages autorisés pour les journées de travail classiques seront ignorés.
Les jours de la semaine autorisés permettent, lors d’une demande de télétravail par un employé, de n’autoriser la demande que pour les jours de la semaine possible pour cet employé.
La vérification de la limite permet de vérifier, lors d’une demande de télétravail par un employé, que cet employé n’a pas atteint son nombre maximum de jours en télétravail autorisé. Cette limite peut être une limite mensuelle ou hebdomadaire.
La durée de travail est utilisée pour le calcul des heures de travail supplémentaires/manquées sur les listings. Sélectionnez :
Personnalisée
pour définir la durée de travail manuellement,
À partir des horaires de travail
pour calculer la durée de travail en fonction des horaires de travail de l’employé.
Les heures de travail jusqu’à cette
Durée de travail
seront comptabilisées dans les heures normales.
Elle est également utilisée pour tout calcul des heures théoriques et pour la vérification de la durée de travail lors du pointage ou en fin de journée/semaine/mois.
Durée de travail personnalisée.
Si vous indiquez une durée de travail par jour, la durée de travail hebdomadaire (pour le calcul des heures de travail supplémentaires/manquées sur les listing) sera déterminée en fonction du nombre de jours travaillés dans la semaine. Exemple : Si vous indiquez 7h / jour et que l’employé travaille du lundi au vendredi, la durée hebdomadaire correspondante sera de 35h / semaine.
À l’inverse, si vous indiquez une durée de travail par semaine, la durée de travail pour une journée (pour tout calcul des heures de congé, arrêt, etc.) sera déterminée en fonction du nombre de jours travaillés dans la semaine. Exemple : Si vous indiquez 35h / semaine et que l’employé travaille du lundi au vendredi, la durée quotidienne correspondante sera de 7h / semaine.
Rémunération de l’employé.
Le mode de rémunération correspond à la manière de calculer la rémunération mensuelle de l’employé. Sélectionnez :
Rémunération à l’heure
si l’employé est rémunéré à l’heure. Un taux horaire est appliqué à chaque heure de travail effectuée, dans ce cas, la rémunération dépend du nombre d’heures travaillées.
Salaire mensualisé
si l’employé perçoit un salaire mensuel fixe. La mensualisation du salaire consiste pour l’employeur à verser chaque mois une rémunération identique quel que soit le nombre de jours que contient le mois. Cependant, le salaire mensuel peut varier en fonction des heures supplémentaires effectuées ou des heures non travaillées (absences).
Taux horaire des heures normales (c’est-à-dire les heures qui ne sont pas des heures supplémentaires ou majorées).
Ce taux horaire permet le calcul du salaire mensuel dans le cas d’un salaire mensualisé. Le calcul s’effectue de la manière suivante : Salaire mensuel
= Nombre d’heures mensualisé
* Taux horaire
Le calcul du nombre d’heures mensualisé s’effectue de la manière suivante : Nombre d’heures mensualisé
= Durée de travail hebdomadaire
X 52
/ 12
Exemple : Un salarié qui travaille 35h / semaine perçoit un salaire mensuel calculé sur 151,67 heures par mois (35*(52/12)=151,67). Avec un taux horaire à 15 € / heure par exemple, son salaire mensuel sera de 2275,05 €.
Le temps de travail effectif est le temps pendant lequel le salarié est à la disposition de l’employeur et se conforme à ses directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations personnelles. C’est lui qui est pris en compte pour déterminer la durée du travail effectuée par le salarié, ainsi que sa rémunération, son nombre d’heures supplémentaires et ses droits à congé. Le temps de travail effectif est distinct du temps de présence dans l’entreprise.
Types d’heures prises en compte ou exclus dans le calcul du Temps de travail effectif. Par exemple, le décompte des heures supplémentaires en cas de jour férié chômé dans la semaine donne lieu à plusieurs interprétations. Si l’entreprise applique la jurisprudence, les heures de jours fériés ne doivent pas être prises en compte dans le décompte des heures permettant de bénéficier d’heures supplémentaires. Si l’entreprise applique le bulletin officiel des impôts, les heures de jours fériés chômés et payés doivent être traitées comme du temps de travail effectif permettant l’acquisition d’heures supplémentaires.
Le salarié peut prétendre au paiement d’heures supplémentaires, pour toutes les heures qu’il effectue au-delà de la durée légale de travail effectif.
Les heures de travail au-delà de la durée de travail effectif seront comptabilisées dans les heures supplémentaires de catégorie 1.
Les heures de travail comprises entre la durée de travail effectif et le Palier d’heure supplémentaire de catégorie 2
seront comptabilisées dans les heures supplémentaires de catégorie 1. Les heures de travail à partir du Palier d’heure supplémentaire de catégorie 2
seront comptabilisées dans les heures supplémentaires de catégorie 2. Exemple : Pour le cas « À défaut d’accord ou de convention », les 8 premières heures supp. (de 35h à 43h) sont majorées à 25%, pour les heures suivantes (à partir de 43h de travail), la majoration est de 50%. Pour ce cas, mettre 35 dans Durée normale
et 43 dans Palier heure supp. catég. 2
.
Les heures supplémentaires peuvent être comptabilisées dans la limite d’un certain nombre d’heures. Si une limite est activée, les heures supplémentaires dépassant la limite seront affichées sur la ligne Heures supplémentaires non payées
sur le listing.
L’ajustement automatique de la durée de travail permet d’ajouter ou de retirer quelques minutes (ou heures) à la durée de travail, de façon automatique.
Par exemple, si l’employé prend une pause le matin et l’après-midi de 15 minutes mais vous ne souhaitez pas le faire pointer la pause pour si peu de temps, vous pouvez choisir de retirer automatiquement 30 minutes à la durée de travail si vous considérez que sa pause du matin et de l’après-midi ne fait pas partie de son temps de travail.
L’ajustement automatique de la durée de travail peut être activé une seule fois par jour travaillé ou à chaque couple arrivée/départ. Sélectionnez :
Une seule fois par jour travaillé
pour activer l’ajustement automatique qu’une seule fois pour chaque jour travaillé (pointé).
À chaque couple arrivée/départ
pour activer l’ajustement automatique pour chaque couple arrivée/départ. Cela est utile si l’employé pointe plusieurs couples arrivée/départ dans la même journée travaillée.
Valeur de l’ajustement automatique de la durée de travail.
La vérification de la durée de travail quotidienne (après un pointage de fin de pause ou après chaque journée) permet de s’assurer que l’employé a pointé en respectant sa durée de travail. La durée de travail réelle (calculée en fonction de ses pointages du jour) sera comparée à la durée de travail indiquée ou théorique.
C’est la durée autorisée pour la durée de travail quotidienne qui sera comparée à la durée de travail réellement effectuée (calculée en fonction de ses pointages du jour). Sélectionnez :
Personnalisée
pour définir manuellement la durée minimum et maximum.
À partir de la durée de travail quotidienne théorique
pour définir la durée depuis la durée de travail théorique, avec le choix d’un écart positif et négatif (afin d’avoir une plage de durée autorisée).
C’est le moment où la vérification de la durée de travail quotidienne est effectuée. Sélectionnez :
Lors du pointage de départ
pour faire la vérification lors d’un pointage de départ. Cela est utile si l’employé ne pointe qu’un seul couple d’arrivée/départ dans la journée.
À la fin de la journée
pour faire la vérification à la fin de la journée (à minuit pour la journée d’avant), après que l’employé ait tout pointé. Cela est utile si l’employé pointe plusieurs couples "arrivée/départ" dans la journée, de cette manière, le calcul de la durée travaillée sera effectué sur tous les pointages du jour et pas seulement le dernier couple d’arrivée/départ.
Liste des actions effectuées si la durée de travail quotidienne n’est pas respectée. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing si la vérification est faite après le pointage de départ. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages). Uniquement disponible si la vérification est faite Lors du pointage de départ
.
La vérification de la durée de travail hebdomadaire permet de s’assurer que l’employé a pointé en respectant sa durée de travail. Chaque semaine, la durée de travail réelle (calculée en fonction de ses pointages de la semaine) sera comparée à la durée de travail indiquée ou théorique.
C’est la durée autorisée pour la durée de travail hebdomadaire qui sera comparée à la durée de travail réellement effectuée (calculée en fonction de ses pointages de la semaine). Sélectionnez :
Personnalisée
pour définir manuellement la durée minimum et maximum.
À partir de la durée de travail hebdomadaire théorique
pour définir la durée depuis la durée de travail théorique, avec le choix d’un écart positif et négatif (afin d’avoir une plage de durée autorisée).
La vérification de la durée de travail hebdomadaire est systématiquement effectuée automatiquement à la fin de la semaine.
Liste des actions effectuées si la durée de travail hebdomadaire n’est pas respectée. Si rien n’est coché, rien ne sera fait. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
La vérification de la durée de travail mensuelle permet de s’assurer que l’employé a pointé en respectant sa durée de travail. Chaque mois, la durée de travail réelle (calculée en fonction de ses pointages du mois) sera comparée à la durée de travail indiquée ou théorique.
C’est la durée autorisée pour la durée de travail mensuelle qui sera comparée à la durée de travail réellement effectuée (calculée en fonction de ses pointages du mois). Sélectionnez :
Personnalisée
pour définir manuellement la durée minimum et maximum.
À partir de la durée de travail mensuelle théorique
pour définir la durée depuis la durée de travail théorique, avec le choix d’un écart positif et négatif (afin d’avoir une plage de durée autorisée).
La vérification de la durée de travail mensuelle est systématiquement effectuée automatiquement à la fin du mois.
Liste des actions effectuées si la durée de travail mensuelle n’est pas respectée. Si rien n’est coché, rien ne sera fait. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
La vérification de la durée de travail quotidienne/hebdomadaire/mensuelle permet de s’assurer que l’employé respecte sa durée de travail définie en fonction de ses pointages. Si activé, pour la durée autorisée, vous pouvez sélectionner :
Personnalisée
pour définir manuellement une durée minimum et maximum.
À partir de la durée de travail théorique
pour définir la durée depuis la durée de travail théorique, avec le choix d’un écart positif et négatif (afin d’avoir une plage de durée autorisée). Exemple : Si sa durée de travail quotidienne théorique est définie à 08h00, si vous autorisez un écart de - 00:15:00 à + 00:15:00, la vérification de la durée sera validée si l’employé travaille entre 07h45 et 08h15 dans la journée.
Si vérification de la durée de travail échoue (durée non respectée), les actions définies par le paramètre
Si non respectée
seront effectuées.
La vérification de la durée entre le pointage d’arrivée et le pointage de départ permet de s’assurer que l’employé a pointé en respectant sa durée de travail pour cette planification. Lors du pointage de départ, la durée de travail (calculée en fonction de son pointage d’arrivée et de sa pause) sera comparée à la durée de travail indiquée.
Pour la vérification de la durée entre les pointages arrivée/départ, la durée autorisée peut être uniquement personnalisée. Il n’y a pas À partir des horaires de travail
car cela équivaut à utiliser le paramètre Vérification de la durée de travail quotidienne
(en sélectionnant Lors du pointage
pour Quand
). Cette vérification est donc utile uniquement s’il y a plusieurs planifications (couples arrivée/départ) dans la même journée, avec une durée identique. S’il n’y a qu’une seule planification (une seule plage horaire de travail), pour vérifier la durée de travail, il faut utiliser le paramètre Vérification de la durée de travail quotidienne
.
Liste des actions effectuées si lors d’un pointage de départ la durée n’est pas respectée, vous pouvez choisir les actions à exécuter. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
La vérification de la durée entre le pointage d’arrivée et le pointage de début de pause permet de s’assurer que l’employé a pointé en respectant sa durée de travail pour la première partie de sa journée. Lors du pointage de début de pause, la durée de travail (calculée en fonction de son pointage d’arrivée) sera comparée à la durée de travail indiquée ou théorique.
C’est la durée autorisée pour la durée entre le pointage d’arrivée et le pointage de début de pause qui sera comparée à la durée de travail réellement effectuée (calculée en fonction des pointages d’arrivée et de début de pause). Sélectionnez :
Personnalisée
pour définir manuellement la durée minimum et maximum.
À partir de la durée correspondante aux horaires de travail
pour définir la durée depuis les horaires de travail, avec le choix d’un écart positif et négatif (afin d’avoir une plage de durée autorisée). La durée sera calculée en fonction des heures d’arrivée et début pause indiquées pour ce jour dans les horaires fixes ou variables. Cela ne fonctionne que si l’employé ne possède qu’une seule plage d’horaire pour la journée.
Liste des actions effectuées si lors d’un pointage de début de pause, la durée n’est pas respectée. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
La vérification de la durée entre le pointage de fin de pause et le pointage de départ permet de s’assurer que l’employé a pointé en respectant sa durée de travail pour la deuxième partie de sa journée. Lors du pointage de départ, la durée de travail (calculée en fonction de son pointage de fin de pause) sera comparée à la durée de travail indiquée ou théorique.
C’est la durée autorisée pour la durée entre le pointage de fin de pause et le pointage de départ qui sera comparée à la durée de travail réellement effectuée (calculée en fonction des pointages de fin de pause et de départ). Sélectionnez :
Personnalisée
pour définir manuellement la durée minimum et maximum.
À partir de la durée correspondante aux horaires de travail
pour définir la durée depuis les horaires de travail, avec le choix d’un écart positif et négatif (afin d’avoir une plage de durée autorisée). La durée sera calculée en fonction des heures de fin de pause et départ indiquées pour ce jour dans les horaires fixes ou variables. Cela ne fonctionne que si l’employé ne possède qu’une seule plage d’horaire pour la journée.
Liste des actions effectuées si lors d’un pointage de départ, la durée n’est pas respectée, vous pouvez choisir les actions à exécuter. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
La durée de pause théorique est utilisée pour la vérification de la durée de pause lors du pointage. Sélectionnez :
Personnalisée
pour définir la durée de pause manuellement,
À partir des horaires de travail
pour calculer la durée de pause en fonction des horaires de travail de l’employé.
L’ajustement automatique de la durée de pause permet d’ajouter ou de retirer quelques minutes (ou heures) à la durée de pause, de façon automatique. Ceci peut être utile si l’employé effectue sa pause loin de son poste de travail par exemple.
L’ajustement automatique de la durée de pause peut être activé une seule fois par jour travaillé ou à chaque pause. Sélectionnez :
Une seule fois par jour travaillé
pour activer l’ajustement automatique qu’une seule fois pour chaque jour travaillé (pointé).
À chaque pause
pour activer l’ajustement automatique pour chaque pause effectuée dans la journée.
La valeur d’ajustement peut être soit :
Durée théorique
, dans ce cas, la différence entre la durée de la pause effectuée et la durée de pause théorique sera automatiquement ajoutée ou retirée si la pause effectuée est en dessous ou au-dessus de la pause théorique.
Personnalisée
dans ce cas, la durée personnalisée indiquée sera automatiquement ajoutée ou retirée de la durée de pause effectuée.
Par exemple, si l’employé prend une pause inférieure à sa durée de pause théorique, mais vous ne souhaitez pas lui payer ce temps de travail supplémentaire, vous pouvez forcer d’ajuster la pause effectuée en fonction de la pause théorique (la différence de durée sera ajoutée).
La vérification de la durée de pause (après un pointage de fin de pause ou après chaque journée) permet de s’assurer que l’employé a pointé en respectant sa durée de pause. La durée de pause réelle (calculée en fonction de ses pointages du jour) sera comparée à la durée de pause indiquée ou théorique.
C’est la durée autorisée pour la durée de pause qui sera comparée à la durée de pause réellement effectuée (calculée en fonction de ses pointages du jour). Sélectionnez :
Personnalisée
pour définir manuellement la durée minimum et maximum.
À partir de la durée de pause théorique
pour définir la durée depuis la durée de pause théorique, avec le choix d’un écart positif et négatif (afin d’avoir une plage de durée autorisée).
C’est le moment où la vérification de la durée de pause est effectuée. Sélectionnez :
Lors du pointage de fin de pause
pour faire la vérification lors d’un pointage de fin de pause. Cela est utile si l’employé ne pointe qu’une seule pause dans la journée.
À la fin de la journée
pour faire la vérification à la fin de la journée (à minuit pour la journée d’avant), après que l’employé ait tout pointé. Cela est utile si l’employé pointe plusieurs pauses dans la journée, de cette manière, le calcul de la durée de pause sera effectué sur tous les pointages du jour et pas seulement la dernière pause de la journée.
Liste des actions effectuées si la durée de pause n’est pas respectée. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing si la vérification est faite après le pointage de fin de pause. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages). Uniquement disponible si la vérification est faite après le pointage de fin de pause.
L’ajout automatique des plages de pause permet l’ajout automatique de la pause définie dans les horaires de travail de l’employé, entre les pointages d’arrivée et de départ. L’employé ne sera donc pas obligé de pointer en début et fin de pause.
Types de planification pour lesquels les plages de pause seront automatiquement ajoutées.
Si activé (et que plusieurs types de planification sont cochés), si des horaires de travail variables ont été trouvés pour cette journée, la pause sera automatiquement ajoutée par rapport à ces horaires, et les éventuels autres horaires fixes ou récurrents trouvés pour cette journée seront ignorées (Les horaires variables prévalent sur les horaires fixes/récurrents).
Les durées des pauses automatiques permettent l’ajout automatique d’une ou plusieurs durées de pauses dans chaque journée de travail de l’employé. Ces durées des pauses seront donc automatiquement déduites du temps de travail de l’employé sur les listings.
L’ajout automatique de durées de pause peut être activé pour chaque journée de travail ou pour certaines journées seulement. Sélectionnez :
Chaque jour travaillé
pour ajouter les durées des pauses automatiques dans chaque journée de travail de l’employé même si celui-ci a effectué des pointages de début/fin de pause pendant la journée.
Certains jours travaillés
pour ajouter les durées des pauses automatiques pour certains jours uniquement.
Sélectionnez cette option pour ajouter les durées de pause automatique dans la journée de travail de l’employé uniquement si celui-ci n’a pas fait de pointage de début/fin de pause pendant cette journée.
Sélectionnez cette option pour ajouter les durées de pause automatique dans la journée de travail de l’employé uniquement si celui-ci a fait une journée de travail entière, c’est-à-dire qu’il ne s’est pas absenté pendant une demi-journée (pour n’importe quelle raison comme congé, arrêt, formation, etc.).
Sélectionnez cette option pour ajouter les durées de pauses automatiques dans la journée de travail de l’employé uniquement si celui-ci a travaillé pendant une durée d’au moins équivalente à la durée indiquée en paramètre.
L’ajout automatique de durées de pause peut être activé pour chaque plage horaire pendant la journée de travail ou une seule fois par jour travaillé seulement. Ce paramètre concerne les employés ayant plusieurs planifications (début/fin) dans la même journée, avec différentes missions par exemple. Sélectionnez :
Chaque plage horaire travaillée
pour ajouter les durées des pauses automatiques pour chacune des plages horaires dans la même journée de travail.
Une seule fois par jour travaillé
pour ajouter les durées des pauses automatiques une seule fois par jour travaillé.
Si activé, un panier-repas est attribué automatiquement pour cette journée de travail pour cet employé (selon certaines conditions paramétrables).
Les panier-repas sont affichés sur le listing par employé.
Si Une seule des conditions
est sélectionné, il suffit qu’une seule des conditions ci-dessous soit remplie pendant la journée de travail pour qu’un panier-repas soit automatiquement attribué pour cette journée.
Si Toutes les conditions
est sélectionné, toutes les conditions ci-dessous doivent être remplies pendant la journée de travail pour qu’un panier-repas soit automatiquement attribué pour cette journée. Si l’une des conditions n’est pas remplie, pas de panier-repas attribué.
Durée minimum de travail pour l’attribution automatique d’un panier-repas. Si cette durée minimum de travail est atteinte, un panier-repas est attribué.
Durée minimum de pause pour l’attribution automatique d’un panier-repas. Si cette durée minimum de pause est atteinte, un panier-repas est attribué.
Intervalle horaire de présence sur le lieu de travail pour l’attribution automatique d’un panier-repas. Si l’employé pointe sa fin de journée avant midi ou son début de journée après midi, le panier repas ne sera pas attribué.
Distance minimale entre le lieu de pointage d’arrivée et le lieu de pointage du début de pause pour l’attribution automatique d’un panier-repas. Si cette distance minimale est atteinte (distance à vol d’oiseau pour l’instant), un panier-repas est attribué.
Distance minimale entre le lieu de travail de l’employé (celui renseigné sur sa fiche employé) et le lieu d’un pointage effectué lors de la journée de travail pour l’attribution automatique d’un panier-repas. Si la distance minimale entre n’importe quel pointage du jour et le lieu de travail habituel de l’employé est atteinte (cela voulant dire que l’employé est allé travailler ailleurs pendant cette journée), un panier-repas est attribué.
Distance minimale entre le lieu de domicile de l’employé (celui renseigné sur sa fiche employé) et le lieu d’un pointage effectué lors de la journée de travail pour l’attribution automatique d’un panier-repas. Si la distance minimale entre n’importe quel pointage du jour et le lieu de domicile de l’employé est atteinte (cela voulant dire que l’employé est allé travailler au-delà d’une distance habituelle pendant cette journée), un panier-repas est attribué.
Heure maximum du pointage en dehors du lieu de travail habituel de l’employé. Si l’employé pointe le matin en dehors de son lieu de travail habituel, mais qu’il pointe le midi avant cette heure maximum sur son lieu de travail habituel (il est donc rentré dans la matinée), il n’y a pas de panier-repas attribué.
Si désactivé, il n’y a pas de panier-repas attribué automatiquement si l’employé est en grand déplacement.
Si le paramètre Heure maximum du pointage en dehors du lieu de travail habituel de l’employé
est renseigné, si le grand déplacement aller s’effectue après la pause déjeuner (après cette heure indiquée dans ce paramètre) ou si le grand déplacement retour s’effectue avant la pause déjeuner, on considère que l’employé n’est pas en grand déplacement pendant sa pause déjeuner et donc un panier-repas est attribué automatiquement.
Si le paramètre Sauf pendant la journée de grand déplacement aller
et/ou Sauf pendant la journée de grand déplacement retour
est activé, un panier-repas est quand même attribué automatiquement le jour du grand déplacement aller et/ou le jour du grand déplacement retour.
Si désactivé, il n’y a pas de panier-repas attribué automatiquement si l’employé est en télétravail.
Valeur du panier-repas, en euros. Cette valeur permet le calcul du montant total des paniers-repas d’un employé sur le listing.
La vérification du repos quotidien (après un pointage de début de journée) permet de s’assurer que l’employé a pointé en respectant sa durée minimum de repos quotidien. La durée de repos quotidien réelle (durée entre son pointage de fin de journée de la veille et son pointage de début de journée) sera comparée à la durée de repos quotidien indiquée ou théorique.
C’est la durée autorisée pour la durée de repos quotidien qui sera comparée à la durée non travaillée réellement effectuée (calculée en fonction du pointage de fin de journée de la veille et du pointage de début de journée). Sélectionnez :
Personnalisée
pour définir manuellement la durée minimum.
À partir des horaires de travail
pour définir la durée de repos théorique en fonction des horaires de travail.
Liste des actions effectuées si la durée de repos quotidien n’est pas respectée. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Manière de comptabiliser les distances de trajets/déplacements ainsi que les durées pour les déplacements automatiques. Sélectionnez :
En voiture
pour calculer les déplacements en voiture via l’itinéraire routier le plus rapide en temps, en choisissant d’éviter les routes avec péages ou non.
En transports publiques
pour calculer les déplacements en transports en commun, en choisissant les modes à inclure.
À pied
pour calculer les déplacements en marchant via les chemins piétons et trottoirs.
À vélo
pour calculer les déplacements à vélo via les pistes cyclables et routes privilégiées.
À vol d’oiseau
pour calculer les déplacements par la distance réelle et directe en ces 2 lieux (« trait sur la carte »). Si cette méthode est choisie, la durée pour les déplacements automatiques ne sera pas calculée.
Types de transports en commun utilisés pour calculer les déplacements, si le mode de déplacement sélectionné est
En transports publiques
. Cochez :
Bus
pour inclure le bus
Métro
pour inclure le métro
Train
pour inclure le train
Tramway
pour inclure le tramway
Si activé, si le mode de déplacement sélectionné est En voiture
, les routes avec péages seront évitées pour calculer les déplacements.
Le coût horaire correspond au coût payé à l’employé pour les heures de trajet et déplacement. Ce coût est utilisé uniquement si la manière de comptabiliser les heures de trajets/déplacements s’effectue dans les heures de trajet/déplacements et non dans les heures de travail.
Le coût kilométrique correspond au coût payé à l’employé pour les distances de trajet/déplacement pour chaque kilomètre.
Les heures de trajet correspondent à la durée effectuée par l’employé pour se rendre sur le lieu de travail le matin et pour rentrer à son domicile le soir.
Si désactivé, les heures de trajet ne seront pas comptabilisées dans le total des heures sur le listing.
Manière de calculer les heures de trajet. Sélectionnez :
Automatique
pour comptabiliser les heures de trajet en fonction des heures des pointages.
Fixe
pour comptabiliser les heures de trajet depuis une durée fixe définie manuellement (les heures des pointages sont donc ignorées pour les heures de trajet).
Type d’heure pour la comptabilisation des heures de trajet. Sélectionnez :
Dans les heures travaillées
pour comptabiliser les heures de trajet dans les heures normales et heures supplémentaires, et donc dans la durée totale de travail.
Dans les heures de trajet
pour comptabiliser les heures de trajet dans une ligne supplémentaire « Heures de déplacements » et ne seront donc pas prises en compte dans les heures supplémentaires, mais seront comptabilisées dans la durée totale de travail.
La durée rémunérée est la durée fixe définie manuellement pour le temps de trajet aller (trajet domicile-travail) et retour (trajet travail-domicile), si la manière de calculer les heures de trajet est définie sur Fixe
.
La durée non rémunérée est la durée déduite (non payée) du temps de trajet aller (trajet domicile-travail) et retour (trajet travail-domicile), si les heures de trajet sont comptabilisées.
Le pourcentage correspond à la durée totale de trajet qui est payée à l’employé. Si par exemple, le pourcentage est de 60%, sur un trajet d’une heure, la durée payée à l’employé sera de 40 minutes.
Les distances de trajet correspondent aux distances effectuées par l’employé pour se rendre sur le lieu de travail le matin et pour rentrer à son domicile le soir.
Si désactivé, les distances de trajet ne seront pas comptabilisées dans le total sur le listing.
Manière de calculer les distances de trajet. Sélectionnez :
Automatique
pour comptabiliser les distances de trajet en fonction des localisations des pointages.
Fixe
pour comptabiliser les distances de trajet depuis une distance fixe définie manuellement (les localisations des pointages sont donc ignorées pour les distances de trajet).
La distance rémunérée est la distance fixe définie manuellement pour la distance de trajet aller (trajet domicile-travail) et retour (trajet travail-domicile), si la manière de calculer les distances de trajet est définie sur Fixe
.
La distance non rémunérée est la distance déduite (non payée) de la distance de trajet aller (trajet domicile-travail) et retour (trajet travail-domicile).
Le pourcentage correspond à la distance réelle de trajet qui est payée à l’employé. Si par exemple, le pourcentage est de 60%, sur un trajet de 100 km, la distance payée à l’employé sera de 60 km.
Les heures de déplacement correspondent aux durées effectuées en déplacement par l’employé pendant sa journée de travail.
Si désactivé, les heures de déplacement ne seront pas comptabilisées dans le total des heures sur le listing.
Type d’heure pour la comptabilisation des heures de déplacement. Sélectionnez :
Dans les heures travaillées
pour comptabiliser les heures de déplacement dans les heures normales et heures supplémentaires, et donc dans la durée totale de travail.
Dans les heures de déplacements
pour comptabiliser les heures de déplacement dans une ligne supplémentaire « Heures de déplacements » et ne seront donc pas prises en compte dans les heures supplémentaires, mais seront comptabilisées dans la durée totale de travail.
Le pourcentage correspond à la durée totale de déplacement qui est payée à l’employé. Si par exemple, le pourcentage est de 60%, sur un déplacement d’une heure, la durée payée à l’employé sera de 40 minutes.
Les distances de déplacement correspondent aux distances effectuées en déplacement par l’employé pendant sa journée de travail.
Si désactivé, les distances de déplacement ne seront pas comptabilisées dans le total sur le listing.
Le pourcentage correspond à la distance réelle de déplacement qui est payée à l’employé. Si par exemple, le pourcentage est de 60%, sur un déplacement de 100 km, la distance payée à l’employé sera de 60 km.
Contrairement aux petits déplacements qui sont des déplacements courts effectués pendant la journée de travail, les grands déplacements sont des déplacements sur des distances plus importantes, éventuellement en dépassement des horaires de travail habituels, et éventuellement sur plusieurs jours (logement sur place).
Il y a plusieurs critères paramétrables pour qu’un déplacement soit considéré comme « Grand déplacement » au lieu de « Petit déplacement ».
La distance minimum est la distance minimum que l’employé effectue lors d’un déplacement pour que le déplacement soit comptabilisé dans les grands déplacements. Si c’est un déplacement aller-retour, c’est la distance minimum correspondant à l’aller simple.
Le point de départ est le lieu de départ pour le calcul à partir d’un trajet domicile-travail. Sélectionnez :
Lieu de domicile de l’employé
pour calculer la distance de grand déplacement entre le lieu de domicile de l’employé et le lieu de pointage.
Lieu de travail habituel de l’employé
pour calculer la distance de grand déplacement entre le lieu de travail habituel de l’employé et le lieu de pointage.
Si l’employé est en grand déplacement pendant plusieurs jours, ce rayon permet de connaître le rayon d’action que l’employé a, et ainsi de considérer qu’il est dans la même région plusieurs jours pour ce même grand déplacement.
Ce paramètre est utile dans le cas où l’employé fait plusieurs grands déplacements de façon consécutifs. Exemple : Le lundi, l’employé pars de Paris à Lyon ; le mardi, il reste à Lyon ; le mercredi, il rentre de Lyon à Paris ; le jeudi, il part de Paris à Brest et le vendredi, il rentre de Brest à Paris. Sans ce rayon d’action, il n’y aurait qu’un seul grand déplacement dans la semaine (aller le lundi matin et retour le vendredi soir). Avec ce rayon d’action, on détecte que l’employé a bougé suffisamment et est sorti du rayon d’action pour considérer qu’il a fait un nouveau grand déplacement le jeudi matin (et donc le retour est ajouté le mercredi soir).
Les heures de grand déplacement correspondent aux durées effectuées en grand déplacement par l’employé (pendant sa journée de travail ou non).
Si désactivé, les heures de grand déplacement ne seront pas comptabilisées dans le total des heures sur le listing.
Manière de comptabiliser les heures de grand déplacement. Sélectionnez :
Dans les heures travaillées
pour comptabiliser les heures de grand déplacement dans les heures normales et heures supplémentaires, et donc dans la durée totale de travail.
Dans les heures de déplacements
pour comptabiliser les heures de grand déplacement dans une ligne supplémentaire « Heures de déplacements » et ne seront donc pas prises en compte dans les heures supplémentaires, mais seront comptabilisées dans la durée totale de travail.
Le pourcentage correspond à la durée totale de déplacement qui est payée à l’employé. Si par exemple, le pourcentage est de 60%, sur un déplacement d’une heure, la durée payée à l’employé sera de 40 minutes.
Les distances de grand déplacement correspondent aux distances effectuées en grand déplacement par l’employé (pendant sa journée de travail ou non).
Si désactivé, les distances de grand déplacement ne seront pas comptabilisées dans le total sur le listing.
Le pourcentage correspond à la distance réelle de déplacement qui est payée à l’employé. Si par exemple, le pourcentage est de 60%, sur un déplacement de 100 km, la distance payée à l’employé sera de 60 km.
Si activé, une indemnité de grand déplacement est automatiquement comptabilisée pour chaque journée pendant laquelle l’employé est en grand déplacement, sauf pour la journée de fin du grand déplacement (celle où il retourne chez lui en fin de journée).
Si le grand déplacement s’étale sur une période de plusieurs jours comprenant un ou plusieurs week-ends, une IGD est également comptabilisée pour chaque journée de week-end.
Exemples : Si l’employé est en grand déplacement du lundi au vendredi, 4 IGD seront comptabilisées (le vendredi, il n’y a pas d’IGD car l’employé est rentré à son domicile le soir). Si l’employé est en grand déplacement du mercredi au mardi suivant, 6 IGD seront comptabilisées (dont 2 IGD le week-end, mais pas d’IGD le mardi, parce que l’employé rentre à son domicile le mardi soir).
L’indemnité de grand déplacement est destinée à couvrir les dépenses supplémentaires de nourriture et de logement du salarié en déplacement professionnel.
Valeur de l’indemnité de grand déplacement (IGD), en euros. Cette valeur permet le calcul du montant total des IGD d’un employé sur le listing.
Si activé, des déplacements seront ajoutés automatiquement (selon les types de déplacement automatique sélectionnés).
Types de déplacement automatique possibles. Si rien n’est coché, aucun déplacement ne sera ajouté automatiquement.
Si coché, seront automatiquement ajoutés les déplacements entre l’adresse de domicile de l’employé (si renseignée) et le lieu de pointage (si géolocalisé) pour l’arrivée et le départ du lieu de travail (un déplacement automatique avant le pointage d’arrivée et un déplacement automatique après le pointage de départ).
Si coché, seront automatiquement ajoutés les déplacements entre chaque pointage de tâche ou travail (si géolocalisé).
Si coché, seront automatiquement ajoutés les déplacements entre le lieu de travail de l’employé (si renseigné) et le lieu de pointage (si géolocalisé) pour l’arrivée et le départ du lieu de travail (un déplacement automatique avant le pointage d’arrivée et un déplacement automatique après le pointage de départ). Ceci est utile si l’employé est rattaché à un lieu de travail habituel, mais qu’il lui arrive d’aller travailler ailleurs et que vous souhaitez lister les déplacements qu’il a effectués entre son lieu de travail habituel et ses lieux de travail différents.
Si coché, un grand déplacement sera automatiquement ajouté si la différence entre le lieu de travail du début de journée et le lieu de travail de fin de journée correspond à un grand déplacement. La durée de long déplacement n’est pas comptabilisée, car le grand déplacement est effectué pendant le temps de travail.
- Cas n°1 : Si le matin, l’employé est géolocalisé loin de chez lui (en grand déplacement) et le soir à son lieu de travail habituel, cela veut dire qu’il a fait un grand déplacement (déplacement retour) pendant son temps de travail. Exemple : Mardi matin, l’employé pointe à Lyon ; le mardi soir il pointe à Paris (son domicile) : un grand déplacement (retour) est ajouté.
- Cas n°2 : Si le matin, l’employé est géolocalisé à son lieu de travail habituel et le soir loin de chez lui (en grand déplacement), cela veut dire qu’il a fait un grand déplacement (déplacement aller) pendant son temps de travail. Exemple : Lundi matin, l’employé pointe à Paris (son domicile) ; le lundi soir, il pointe à Lyon : un grand déplacement (aller) est ajouté.
Manière de calculer la durée de déplacement automatique entre les lieux des pointages (tâches ou travail). Sélectionnez :
Différence entre les heures de pointage
pour calculer la durée de déplacement automatique depuis l’horodatage des pointages. La durée de déplacement correspondra à la différence entre l’horodatage du pointage de départ (ou fin de tâche) précédent et l’horodatage du pointage d’arrivée (ou début tâche) suivant.
Durée de l’itinéraire de déplacement
pour calculer la durée de déplacement automatique à partir de l’itinéraire calculé entre les 2 positions géographiques (si les pointages sont géolocalisés).
Les grand déplacement étalés sur plusieurs jours consécutifs ne sont comptabilisés qu’une seule fois (l’aller le premier jour et le retour le dernier jour). Si le pointage de fin de la veille est géolocalisé au même endroit que le pointage de début du jour, et que le lieu de pointage est situé à une distance correspondante à un grand déplacement (par rapport à son lieu de travail habituel), on considère que l’employé est en déplacement sur plusieurs jours et qu’il n’est donc pas rentré chez lui chaque soir (il a logé sur place). Dans ce cas, seules les durées/distances de grand déplacement sont comptabilisées le premier jour à l’arrivée et le dernier jour au départ.
Le nombre de congés acquis par mois correspond au nombre de jours de congé payés acquis par l’employé pour chaque mois de travail.
Le calcul du nombre de jours de congés payés acquis peut se faire soit en jours ouvrés (jours d’ouverture de l’entreprise), soit en jours ouvrables (tous les jours de la semaine, sauf le jour de repos hebdomadaire, généralement le dimanche et les jours fériés).
Pour information, sauf disposition conventionnelle, contractuelle ou usage plus favorable, le salarié acquiert 2,5 jours ouvrables de congés, soit 30 jours ouvrables sur la période de référence, ou bien 2,08 jours ouvrés de congés payés par mois, soit 25 jours ouvrés sur la période de référence.
La période de référence correspond au temps pendant lequel le salarié acquiert des droits à congés payés. En général, cette période s’étend du 1er juin au 31 mai.
Elle ne doit pas être confondue avec la période de prise des congés payés, qui démarre au plus tard le 1er mai.
Les « winter days » correspondent à une spécificité de certaines conventions (notamment dans les services du transport aérien) : l’employeur peut étendre la période des congés payés sur l’année entière. En conséquence, les droits de congé annuel sont majorés comme suit au titre des congés pris durant la période du 1er novembre au 30 avril :
- 1 jour ouvrable pour 3 à 5 jours de congé ;
- 2 jours ouvrables pour 6 à 11 jours de congé ;
- 3 jours ouvrables pour 12 jours de congé et plus.
Le nombre de jours de R.T.T. acquis par an correspond au nombre de jours de R.T.T. auquel l’employé a droit pour chaque année de travail. La réduction du temps de travail (RTT) est un dispositif qui prévoit d’attribuer des journées ou des demi-journées de repos à un salarié dont la durée de travail est supérieure à 35 heures par semaine.
Si activé, toute absence dans le mois réduit le nombre de jours de RTT acquis dans le mois.
En effet, les jours non travaillés, quel qu’en soit le motif, n’ont pas vocation à être considérés comme du temps de travail effectif et ne donnent donc pas droit à des jours de RTT.
Méthode de calcul de la réduction du nombre de jours :
Au prorata des jours travaillés
: Le nombre de jours de RTT acquis correspond au ratio jour travaillé / jour ouvrable dans le mois.
Personnalisé
: prochainement disponible
Selon les différentes catégories professionnelles, la convention collective prévoit l’attribution de jours supplémentaires au titre de l’ancienneté. Vous pouvez choisir ici la manière dont les congés d’ancienneté sont acquis. Les jours d’ancienneté acquis seront automatiquement ajoutés aux jours de congé payé acquis à la fin de la période de référence.
Le calcul des durées de congé et arrêts dans les listings s’effectue à partir du paramètre Durée de travail
. Le calcul s’effectue donc soit via les horaires de travail, soit via la valeur de la durée de travail personnalisée.
Si activé, les jours d’arrêt sont comptabilisés dans les heures payées, avec éventuellement un délai de carence.
Le délai de carence (dans le cas où les jours d’arrêt sont comptabilisés dans les heures payées) est la période qui s’écoule entre le début de l’arrêt de travail et l’indemnisation de l’employé.
Si activé, les jours de repos et jours fériés seront comptabilisés comme tels pendant une longue période d’arrêt ou de congé non payé.
Si activé, un jour de congé pris pendant un jour férié sera comptabilisé. Ce paramètre est utile pour les employés qui travaillent toute l’année même les jours fériés (et donc un congé doit être compté un jour férié).
Si activé, les jours fériés (chômés) sont comptabilisés dans les heures payées, en tenant compte éventuellement de l’ancienneté.
L’ancienneté minimum pour le paiement des jours fériés correspond à la durée d’ancienneté minium que l’employé doit avoir (durée dans l’entreprise depuis sa date d’embauche) pour que les jours fériés lui soit rémunérés. Indiquer 0
pour payer les jours fériés quelque soit l’ancienneté de l’employé.
Si activé, lors d’une demande de congé effectuée par l’employé, une vérification du nombre de jours de congés disponible sera effectuée par rapport au nombre de jours de congé demandé. Si l’employé demande une période de congé supérieure au nombre de congé restant, la demande sera automatiquement refusée.
Si activé, l’employé devra obligatoirement joindre un certificat médial lors de chaque demande d’arrêt maladie. L’employeur pourra visualiser et contrôler le certificat médical avant de valider la demande d’arrêt maladie. Si aucun fichier n’est joint, une erreur est affichée à l’employé et la demande n’est pas enregistrée.
Si activé, l’employé pourra saisir l’heure de début et l’heure de fin s’il sélectionne une journée unique. Si désactivé, il pourra sélectionner soit Matin
, soit Après-midi
ou soit Journée entière
et dans ce cas, la durée de congé payée sera automatiquement calculée en fonction de ses horaires de travail habituels.
Si activé, le congé ou arrêt sera automatiquement et immédiatement validé après validation de la demande de congé par l’employé. Le manager ne verra donc pas de nouvelle demande de congé, le congé sera visible dans la liste des congés validés comme s’il l’avait validé manuellement.
Il est recommandé de laisser ce paramètre désactivé si l’employé n’est pas libre de faire ce qu’il veut.
Si activé, si l’employé ne pointe pas pendant un jour normalement travaillé, une journée de congé payé sera alors automatiquement ajoutée.
Si activé, si l’employé pointe une arrivée ou un départ au milieu d’une journée normalement travaillée (pendant la Plage horaire d’arrivée ou de départ
), une demi-journée de congé payé sera alors automatiquement ajoutée.
Par exemple, si un employé travaille normalement de 09h00 à 18h00, s’il pointe un départ à 12h30, une demi-journée de congé sera ajoutée pour l’après-midi ; s’il pointe une arrivée à 13h30, une demi-journée de congé sera ajoutée pour le matin.
La
Plage horaire d’arrivée ou de départ
est la plage horaire durant laquelle l’employé peut effectuer un pointage d’arrivée ou de départ, entrainant l’ajout automatique d’une demi-journée de congé. Sélectionnez :
Pendant la pause des horaires de travail fixes ou variables
pour utiliser la plage horaire correspondant à la pause des horaires de travail fixes ou variables renseignées pour cet employé.
Pendant la plage horaire suivante
pour définir une plage horaire spécifique.
Dans certains cas, les heures supplémentaires peuvent être transformées en heures de récupération (et dans ce cas, il n’y a pas de majoration de salaire pour ces heures supplémentaires transformées). Ce repos compensateur de remplacement est calculé de la même manière que les majorations de salaire.
Si activé, toutes les heures supplémentaires effectuées seront automatiquement transformées en heures de récupération.
Si activé, les heures de récupération de remplacement sont calculées de la même manière que les majorations de salaire. Par exemple, 1 heure supplémentaire majorée normalement à 25% donne un repos de récupération de remplacement de 1 heure et quart ; 1 heure supplémentaire majorée normalement à 50% donne un repos de récupération de remplacement de 1 heure et demie.
Si activé, le nombre d’heures supplémentaires disponible sera vérifié lors de la transformation d’heures supplémentaire en heures de récupération. Le manager ne pourra pas transformer plus d’heures supplémentaires que le nombre d’heures supplémentaires effectuées par l’employé sur la période.
Dans certains cas, les heures de trajet peuvent être transformées en heures de récupération (et dans ce cas, il n’y a pas de paiement de trajet pour ces heures de trajet transformées). Ce repos compensateur de remplacement est calculé de la même manière que l’équivalent en heures de trajet payées.
Si activé, toutes les heures de trajet effectuées seront automatiquement transformées en heures de récupération.
Si activé, le nombre d’heures de trajet disponible sera vérifié lors de la transformation d’heures de trajet en heures de récupération. Le manager ne pourra pas transformer plus d’heures de trajet que le nombre d’heures de trajet effectuées par l’employé sur la période.
Si activé, les heures de repos compensatoire seront automatiquement ajoutés en fonction d’un pourcentage des Heures travaillées de nuit
, des Heures travaillées le dimanche
et des Heures travaillées un jour férié
. Exemple : si les heures de nuit génèrent des heures de compensation à hauteur de 150 %, 3h travaillé de nuit génèrera 4h30 d’heure de compensation.
Pour générer des heures de compensation équivalentes au temps travaillé, le pourcentage doit être de 100%.
Si activé, lors d’une demande d’heure de récupération (repos compensatoire) effectuée par l’employé, une vérification du nombre d’heures disponibles sera effectuée par rapport au nombre d’heures demandées. Si l’employé demande un nombre d’heures supérieur au nombre d’heures qu’il lui reste, la demande sera automatiquement refusée.
Permet de désactiver de façon globale l’envoi des alertes et notifications. Ainsi, vous ne recevrez plus aucune alerte et notification (email, SMS…) quelle que soit la situation.
Liste des types d’envoi d’alerte en cas de non-pointage. Si rien n’est coché, aucune alerte ne vous sera envoyée. Cochez :
Email
pour recevoir les alertes et notifications par email,
SMS
pour recevoir les alertes et notifications par SMS,
Notification
pour recevoir les alertes et notifications par notification mobile.
Appel
pour recevoir les alertes et notifications par un appel téléphonique.
Liste des types d’envoi d’alerte en cas de pointage. Si rien n’est coché, aucune alerte ne vous sera envoyée. Cochez :
Email
pour recevoir les alertes et notifications par email,
SMS
pour recevoir les alertes et notifications par SMS,
Notification
pour recevoir les alertes et notifications par notification mobile.
Appel
pour recevoir les alertes et notifications par un appel téléphonique.
Liste des types d’envoi d’alerte en cas d’erreur de pointage. Si rien n’est coché, aucune alerte ne vous sera envoyée. Cochez :
Email
pour recevoir les alertes et notifications par email,
SMS
pour recevoir les alertes et notifications par SMS,
Notification
pour recevoir les alertes et notifications par notification mobile.
Appel
pour recevoir les alertes et notifications par un appel téléphonique.
Liste des types d’envoi pour les alertes PTI déclenché par les employés. Si rien n’est coché, aucune alerte ne vous sera envoyée. Cochez :
Email
pour recevoir les alertes et notifications par email,
SMS
pour recevoir les alertes et notifications par SMS,
Notification
pour recevoir les alertes et notifications par notification mobile.
Appel
pour recevoir les alertes et notifications par un appel téléphonique.
Liste des types d’envoi pour les notifications diverses (affectation utilisateur, nouveau congé, changement planning, etc.). Si rien n’est coché, aucune alerte ne vous sera envoyée. Cochez :
Email
pour recevoir les alertes et notifications par email,
SMS
pour recevoir les alertes et notifications par SMS,
Notification
pour recevoir les alertes et notifications par notification mobile.
Appel
pour recevoir les alertes et notifications par un appel téléphonique.
Liste des adresses email vers lesquelles les alertes et notifications seront envoyées (absence de pointage, pointage en dehors des horaires autorisés…). Si rien n’est renseigné, l’adresse email du compte sera utilisée.
Liste des numéros de téléphone vers lesquels les alertes et notifications seront envoyées (absence de pointage, pointage en dehors des horaires autorisés…). Si rien n’est renseigné, le numéro de téléphone du compte sera utilisé.
Si désactivé, ce compte ne pourra pas pointer. Ceci est utile si l’employé est cadre (au forfait-heure) ou si c’est un compte servant à faire pointer d’autres employés par exemple.
Liste des méthodes de pointage autorisées. Au moins une méthode de pointage doit être autorisée. Cochez :
Par téléphone
pour autoriser le pointage par téléphone,
Par application
pour autoriser le pointage par application,
Par Internet
pour autoriser le pointage par Internet,
Par flashcode
pour autoriser le pointage par flashcode,
Par NFC
pour autoriser le pointage par NFC.
Liste des types de pointage autorisées. Au moins un type de pointage doit être autorisé. Cochez :
Arrivée / Départ
pour autoriser les pointages d’arrivée et de départ du lieu de travail,
Pause
pour autoriser les pointages de pause,
Passage
pour autoriser les pointages de passage (l’employé pourra pointer lors de chacun de ses déplacements professionnels pendant sa journée de travail),
Départ/Arrivée domicile
pour autoriser les pointages de départ du domicile et arrivée au domicile (l’employé pourra pointer lorsqu’il quittera son domicile avant son pointage d’arrivée sur son lieu de travail et lorsqu’il arrivera à son domicile après son pointage de départ de son lieu de travail),
Début/Fin de tâche
pour autoriser les pointages de « tâche» / « mission » pendant le temps de travail (l’employé pourra pointer lorsqu’il commencera et terminera une nouvelle tâche, une nouvelle mission, durant sa journée de travail),
Début/Fin de déplacement
pour autoriser les pointages de déplacement pendant le temps de travail (l’employé pourra pointer lorsqu’il commencera et terminera un déplacement professionnel, durant sa journée de travail).
Si activé, les pointages ne seront visibles dans les listings par employé et par société qu’après validation par la société correspondante au pointage. Tant que le pointage n’a pas été validé, il est visible dans la liste des pointages avec une erreur spécifique (mais il n’est pas visible sur les listings). Il est possible d’activer ce paramètre pour l’employé qui pointe, pour la société associée au pointage ou pour la mission associée au pointage.
L’Alerte en cas de pointage réussi permet l’envoi d’une alerte (sous forme d’email, SMS, notification…) aux destinataires sélectionnés, à chaque pointage ayant réussi (c’est-à-dire où toutes les vérifications activées ont été validées) effectués par l’employé.
N’activez cette alerte que si vous en avez réellement besoin. Si vous avez beaucoup d’employés qui pointent, vous recevrez beaucoup d’alertes.
Liste des destinataires pour les alertes en cas de pointage réussi.
Si aucun destinataire n’est coché, aucune alerte ne sera envoyée.
L’Alerte en cas de pointage échoué permet l’envoi d’une alerte (sous forme d’email, SMS, notification…) aux destinataires sélectionnés, à chaque pointage ayant échoué (c’est-à-dire où une des vérifications activées n’a pas été validée, comme la vérification de la géolocalisation, la vérification de la durée de travail ou de pause, la vérification des horaires de travail, la vérification du numéro appelant, etc.) effectués par l’employé.
Liste des destinataires pour les alertes en cas de pointage réussi.
Si aucun destinataire n’est coché, aucune alerte ne sera envoyée.
Si activé, une fois que l’employé aura cliqué sur « Pointer », le pointage sera réalisé automatiquement. Le pointage semi-automatique permet de détecter automatiquement le type de pointage (arrivée, départ…) en fonction de l’heure de pointage par rapport au planning et/ou horaires de travail fixes de l’employé. Lors du pointage, l’employé n’aura pas à sélectionner le type de pointage, le pointage est donc immédiat (si l’employé ne doit pas saisir de code société ou mission). Si l’employé pointe en dehors des horaires indiqués dans le planning ou dans ses horaires de travail fixes, le pointage sera refusé (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Liste des actions effectuées si le pointage s’effectue en dehors des heures du planning si le pointage automatique est activé. Si rien n’est sélectionné ou si
Refuser le pointage
n’est pas sélectionné, le pointage ne sera pas automatique, puisque l’on ne peut pas savoir quel type affecter (Arrivée, départ…) : l’employé devra donc sélectionner le type de pointage manuellement. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
La saisie d’un message lors du pointage permet à l’employé de pouvoir saisir un message pendant son pointage. Ce message sera visible sur le listing.
Si la saisie d’un message lors du pointage est obligatoire, l’employé devra saisir un message : s’il ne saisit rien, le pointage sera refusé et une erreur sera affichée sur la liste des pointages.
Si la saisie d’un message lors du pointage n’est pas obligatoire, l’employé pourra saisir un message, mais s’il ne saisit rien, le pointage sera accepté.
Liste des types de pointages concernés par l’activation de la saisie d’un message lors du pointage.
Cette vérification permet de vérifier si un pointage de départ intervient sans pointage d’arrivée, ce qui cause une anomalie dans le listing.
Liste des actions effectuées si un pointage de départ intervient sans pointage d’arrivée. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Cette vérification permet de vérifier si un pointage de fin de pause intervient sans pointage de début de pause, ce qui cause une anomalie dans le listing.
Liste des actions effectuées si un pointage de fin de pause intervient sans pointage de début de pause. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Cette vérification permet de vérifier si un pointage de début intervient sans pointage de fin correspondante (hors pointage arrivée / départ et début pause / fin de pause), ce qui cause une anomalie dans le listing. Cela concerne tous les types de pointages allant par paire, comme début de déplacement / fin de déplacement ou début de tâche / fin de tâche.
Liste des actions effectuées si un pointage de début intervient sans pointage de fin correspondante. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Si activé, si l’employé pointe juste après un pointage (après un laps de temps défini), le pointage sera refusé (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Si activé, lorsqu’un employé pointe un nouveau « Début » (Début déplacement
, Début tâche
…), le pointage de « Fin » correspondant au précédent « Début » sera automatiquement ajouté s’il n’est pas présent.
Exemple : Un employé pointe un Début déplacement
à 10h00 puis un Début tâche
à 11h00. Un pointage Fin déplacement
sera automatiquement ajouté à 10h59 pour clore le déplacement précédent.
Si activé, lorsqu’un employé termine une zone (par exemple une
mission A) et passe à une autre zone (par exemple une
mission B), il lui suffit d’effectuer un
Pointage de passage
en indiquant le code mission de la
mission B. Automatiquement, un pointage de fin de
mission A sera inséré, et le pointage de passage sera reconnu comme un pointage de début de
mission B.
Ce paramètre fonctionne pour les missions et les sociétés.
Ce paramètre requiert l’activation du Pointage de passage
Si activé, lorsqu’un employé pointe un départ, la liste des sociétés/missions planifiée (via les planifications fixes, uniques ou récurrentes) pour cette journée sera vérifiée. Chaque tâche pointée et associée à une société/mission sera comparée à la liste, et la vérification échouera s’il manque une société/mission de la liste dans les pointages du jour.
Sélectionnez :
Sociétés
pour vérifier la liste des sociétés du jour
Missions
pour vérifier la liste des missions du jour
Liste des actions effectuées si la vérification des sociétés/missions à faire échoue. Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Liste des types de demandes de modification autorisées :
Ajout
pour autoriser les demandes d’ajout de pointage (en cas d’oubli par exemple),
Modification
pour autoriser les demandes de modification d’un pointage déjà effectué (en cas d’erreur de type de pointage ou de sélection de société par exemple).
Suppression
pour autoriser les demandes de suppression d’un pointage effectué (en cas de pointage en double par exemple).
Si activé, la demande d’ajout/modification/suppression d’un pointage sera automatiquement et immédiatement validé après validation du formulaire par l’employé. Le manager ne verra donc pas de nouvelle demande de modification de pointage, le pointage sera mis à jour immédiatement dans les listings.
Il est recommandé de laisser ce paramètre désactivé si l’employé n’est pas libre de faire ce qu’il veut.
La position géographique de l’employé au moment du pointage peut être affichée dans le listing sous forme de coordonnées GPS (latitude et longitude) ou d’adresse postale (rue, code postal, ville).
La géolocalisation permet de localiser précisément l’employé lors du pointage. Activée, la position géographique sera récupérée puis affichée dans le listing et le planning. La géolocalisation du pointage est un élément important sur myTime : elle permet d’éventuellement vérifier que l’employé pointe du bon endroit, de faire des calculs de durée/distance de trajet/déplacement, d’associer automatiquement la société/mission, etc.
Si la géolocalisation est obligatoire, l’employé devra obligatoirement activer la géolocalisation sur son terminal (smartphone, tablette…) : s’il refuse ou désactive la géolocalisation, le pointage sera refusé et une erreur sera affichée sur la liste des pointages.
Si la géolocalisation n’est pas obligatoire, l’employé pourra refuser ou désactiver la géolocalisation et le pointage sera accepté (et la position géographique inconnue).
Liste des modes de pointage concernés par la géolocalisation.
Pour le pointage par Internet, la géolocalisation s’effectue par les données fournies via le navigateur web utilisé pour pointer. Ces données de géolocalisation peuvent être très approximatives et sont indépendantes du système myTime.
Distance maximum (en mètres) entre le lieu de pointage réel (localisation exacte de l’employé lors du pointage) et les lieux de travail indiqués dans les paramètres.
Si activé, la géolocalisation sera vérifiée lors du pointage : si l’employé pointe à partir d’un autre endroit que l’un des lieux autorisés, le pointage sera refusé (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Manière de vérifier de la géolocalisation lors du pointage. Sélectionnez :
Via les lieux de pointage globaux
pour comparer la position de l’employé par rapport aux lieux autorisés globaux (paramètres généraux),
Via les lieux de pointage de l’employé
pour tenir compte des lieux autorisés de l’employé,
Via toutes les sociétés
/ Via les sociétés affectées à l’employé
/ Via la société associée au pointage
/ Via la société dans le planning
pour tenir compte des lieux autorisés de toutes les sociétés / des sociétés affectées à l’employé / de la société associée au pointage / de la société correspondante au planning,
Via toutes les missions
/ Via les missions affectées à l’employé
/ Via la mission associée au pointage
/ Via la mission dans le planning
pour tenir compte des lieux autorisés de toutes les missions / des missions affectées à l’employé / de la mission associée au pointage / de la mission correspondante au planning.
Liste des types de pointages concernés par la vérification de la géolocalisation.
Liste des actions effectuées si la vérification de la géolocalisation échoue (c’est-à-dire si l’employé pointe à partir d’un autre endroit que l’un des lieux autorisés). Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Si la vérification de la géolocalisation n’est pas activée pour cette société ou mission, aucune vérification de géolocalisation ne sera effectuée pour tous les pointages correspondants à cette société ou mission.
Si activé, si la géolocalisation est enregistrée à partir d’une des listes des lieux de travail, si l’employé pointe à partir d’un des endroits autorisés de la liste, l’adresse postale correspondant à la géolocalisation indiquée dans le listing sera l’adresse postale du lieu autorisé de la liste.
Si désactivé ou si l’employé pointe à partir d’un autre endroit que l’un des lieux autorisés, la géolocalisation indiquée dans le listing sera sa géolocalisation réelle (sans rapprochement avec un lieu de travail).
Manière d’enregistrer la géolocalisation lors du pointage. Sélectionnez :
Via les lieux de pointage globaux
pour rapprocher la position de l’employé par rapport aux lieux autorisés globaux (paramètres généraux),
Via les lieux de pointage de l’employé
pour tenir compte des lieux autorisés de l’employé,
Via toutes les sociétés
/ Via les sociétés affectées à l’employé
/ Via la société associée au pointage
/ Via la société dans le planning
pour tenir compte des lieux autorisés de toutes les sociétés / des sociétés affectées à l’employé / de la société associée au pointage / de la société correspondante au planning,
Via toutes les missions
/ Via les missions affectées à l’employé
/ Via la mission associée au pointage
/ Via la mission dans le planning
pour tenir compte des lieux autorisés de toutes les missions / des missions affectées à l’employé / de la mission associée au pointage / de la mission correspondante au planning.
La géolocalisation réelle sera également enregistrée et visible sur la liste des pointages.
Si activé, la géolocalisation enregistrée pour le pointage correspondra à l’adresse de la société ou mission saisie lors de ce pointage, même si la géolocalisation réelle n’est pas dans le rayon de l’adresse de la société/mission.
Distance maximum (en mètres) entre le lieu de pointage réel (localisation exacte de l’employé lors du pointage) et le lieu de travail autorisé.
Liste des lieux de pointage autorisés globaux, pour les employés avec le paramètre Vérification de la géolocalisation
ayant comme valeur Vérification via les lieux de travail globaux
.
Liste des lieux de pointage autorisés pour cet employé, si le paramètre Vérification de la géolocalisation
vaut Vérification via les lieux de travail de l’employé
.
Liste des lieux de pointage autorisés pour cette société, pour les employés avec le paramètre Vérification de la géolocalisation
ayant comme valeur Vérification via toutes les sociétés
ou Vérification via les sociétés affectées à l’employé
ou Vérification via la société associée au pointage
ou Vérification via la société correspondant au planning
.
Liste des lieux de pointage autorisés pour cette mission, pour les employés avec le paramètre Vérification de la géolocalisation
ayant comme valeur Vérification via toutes les missions
ou Vérification via les missions affectées à l’employé
ou Vérification via la mission associée au pointage
ou Vérification via la mission correspondant au planning
.
Liste des types de numéros de téléphone autorisés. Chaque pointage par téléphone effectué à partir d’un type de numéro non autorisé sera refusé (une erreur sera affichée sur la liste des pointages). Valeurs possibles :
Téléphone fixe
pour autoriser les pointages par téléphone depuis un numéro géographique (non modifiable, les pointages par téléphone depuis un numéro fixe sont toujours acceptés),
Téléphone mobile
pour autoriser les pointages par téléphone depuis un numéro mobile,
Numéro caché
pour autoriser les pointages par téléphone depuis un numéro caché.
La vérification du numéro de téléphone appelant permet de s’assurer que l’employé pointe vraiment de son lieu de travail, s’il pointe par téléphone (en appelant le numéro de téléphone).
Si le numéro appelant est vérifiée, si l’employé pointe à partir d’un autre numéro que l’un des numéros autorisés, le pointage sera refusé (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Manière de vérifier le numéro appelant lors du pointage. Sélectionnez :
Via les numéros autorisés globaux
pour comparer le numéro appelant par rapport aux numéros autorisés globaux (paramètres généraux),
Via les numéros autorisés pour l’employé
pour tenir compte des numéros autorisés de l’employé,
Via toutes les sociétés
/ Via les sociétés affectées à l’employé
/ Via la société associée au pointage
/ Via la société dans le planning
pour tenir compte des numéros autorisés de toutes les sociétés / des sociétés affectées à l’employé / de la société associée au pointage / de la société correspondante au planning
Via toutes les missions
/ Via les missions affectées à l’employé
/ Via la mission associée au pointage
/ Via la mission dans le planning
pour tenir compte des numéros autorisés de toutes les missions / des missions affectées à l’employé / de la mission associée au pointage / de la mission correspondante au planning.
La vérification du numéro appelant s’effectue uniquement pour le pointage par téléphone.
Liste des types de pointage concernés par la vérification. Il n’y aura pas de vérification du numéro appelant sur les pointages non sélectionnés mais il sera néanmoins enregistrée et visible sur les listings.
Liste des actions effectuées si la vérification du numéro appelant échoue (c’est-à-dire si l’employé pointe à partir d’un autre numéro de téléphone que l’un des numéros autorisés). Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Liste des numéros de téléphone autorisés globaux, pour les employés avec le paramètre Vérification du numéro appelant
ayant comme valeur Vérification via les numéros autorisés globaux
.
Liste des numéros de téléphone autorisés pour cet employé, si le paramètre Vérification du numéro appelant
vaut Vérification via les numéros autorisés de l’employé
.
Liste des numéros de téléphone autorisés pour cette société, pour les employés avec le paramètre Vérification du numéro appelant
ayant comme valeur Vérification via toutes les sociétés
ou Vérification via les sociétés affectées à l’employé
ou Vérification via la société associée au pointage
ou Vérification via la société correspondant au planning
.
Liste des numéros de téléphone autorisés pour cette mission, pour les employés avec le paramètre Vérification du numéro appelant
ayant comme valeur Vérification via toutes les missions
ou Vérification via les missions affectées à l’employé
ou Vérification via la mission associée au pointage
ou Vérification via la mission correspondant au planning
.
Si désactivé, les pointages effectués depuis une adresse IP correspondante à un VPN seront refusés.
La vérification de l’adresse IP permet de s’assurer que l’employé pointe vraiment de son lieu de travail, s’il pointe par Internet (via un navigateur web).
Si l’adresse IP est vérifiée, si l’employé pointe à partir d’une autre adresse IP que l’une des adresses IP autorisées, le pointage sera refusé (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Manière de vérifier l’adresse IP utilisée lors du pointage. Sélectionnez :
Via les adresses IP autorisées globales
pour comparer l’adresse IP utilisée lors du pointage par rapport aux adresses IP autorisées globales (paramètres généraux),
Via les adresses IP autorisées pour l’employé
pour tenir compte des adresses IP autorisées de l’employé,
Via toutes les sociétés
/ Via les sociétés affectées à l’employé
/ Via la société associée au pointage
/ Via la société dans le planning
pour tenir compte des adresses IP autorisées de toutes les sociétés / des sociétés affectées à l’employé / de la société associée au pointage / de la société correspondante au planning,
Via toutes les missions
/ Via les missions affectées à l’employé
/ Via la mission associée au pointage
/ Via la mission dans le planning
pour tenir compte des adresses IP autorisées de toutes les missions / des missions affectées à l’employé / de la mission associée au pointage / de la mission correspondante au planning.
Liste des modes de pointage concernés par la vérification. Il n’y aura pas de vérification de l’adresse IP sur les modes de pointages non sélectionnés mais elle sera néanmoins enregistrée et visible sur les listings.
Le pointage par téléphone n’est évidemment pas concerné par la vérification de l’adresse IP.
Liste des types de pointage concernés par la vérification. Il n’y aura pas de vérification de l’adresse IP sur les pointages non sélectionnés mais elle sera néanmoins enregistrée et visible sur les listings.
Liste des actions effectuées si la vérification de l’adresse IP échoue (c’est-à-dire si l’employé pointe à partir d’une autre adresse IP que l’une des adresses IP autorisées). Si rien n’est coché, rien ne sera fait et le pointage sera accepté et affiché dans le listing. Cochez :
Être alerté
pour déclencher une alerte (envoi de l’alerte aux destinataires activés),
Refuser le pointage
pour refuser le pointage (une erreur sera affichée sur la liste des pointages).
Liste des adresses IP autorisées globales, pour les employés avec le paramètre Vérification de l’adresse IP
ayant comme valeur Vérification via les adresses IP autorisées globales
.
Liste des adresses IP autorisées pour cet employé, si le paramètre Vérification de l’adresse IP
vaut Vérification via les adresses IP autorisées de l’employé
.
Liste des adresses IP autorisées pour cette société, pour les employés avec le paramètre Vérification de l’adresse IP
ayant comme valeur Vérification via toutes les sociétés
ou Vérification via les sociétés affectées à l’employé
ou Vérification via la société associée au pointage
ou Vérification via la société correspondant au planning
.
Liste des adresses IP autorisées pour cette mission, pour les employés avec le paramètre Vérification de l’adresse IP
ayant comme valeur Vérification via toutes les missions
ou Vérification via les missions affectées à l’employé
ou Vérification via la mission associée au pointage
ou Vérification via la mission correspondant au planning
.
La vérification de l’empreinte digitale permet de s’assurer que c’est bien l’employé connecté qui pointe. Au moment de confirmer le pointage, l’employé devra valider son empreinte digitale sur son terminal. Cette vérification est uniquement disponible sur l’application mobile. La validation de l’empreinte digitale est affichée sur le listing.
Si la vérification de l’empreinte digitale est obligatoire, l’employé devra obligatoirement valider son empreinte digitale : s’il ignore cette étape, le pointage sera refusé et une erreur sera affichée sur la liste des pointages.
Si la vérification de l’empreinte digitale n’est pas obligatoire, l’employé pourra ignorer cette étape et le pointage sera accepté.
Liste des modes de pointage concernés par la vérification de l’empreinte digitale.
Le contrôle vocal permet de s’assurer que c’est bien l’employé connecté qui pointe. Avant de pouvoir confirmer le pointage, l’employé devra lire à haute voix et enregistrer quelques mots affichés (date du jour, mots aléatoires…). Le fichier audio correspondant à l’enregistrement est écoutable sur le listing.
Si le contrôle vocal est obligatoire, l’employé devra obligatoirement valider l’étape du contrôle vocal : s’il ignore cette étape, le pointage sera refusé et une erreur sera affichée sur la liste des pointages.
Si le contrôle vocal n’est pas obligatoire, l’employé pourra ignorer cette étape et le pointage sera accepté.
Liste des modes de pointage concernés par le contrôle vocal.
Le contrôle par photo permet de s’assurer que c’est bien l’employé connecté qui pointe. Avant de pouvoir confirmer le pointage, l’employé devra se prendre en photo. Le fichier image correspondant à la photo prise au moment du pointage est affichable sur le listing.
Si le contrôle par photo est obligatoire, l’employé devra obligatoirement valider l’étape du contrôle par photo : s’il ignore cette étape, le pointage sera refusé et une erreur sera affichée sur la liste des pointages.
Si le contrôle par photo n’est pas obligatoire, l’employé pourra ignorer cette étape et le pointage sera accepté.
Liste des modes de pointage concernés par le contrôle par photo.
Activation des messages d’information automatique « Joyeux anniversaire » et « Bonne fête ». Si activé, un message d’information textuel automatique sera affiché à la fin du pointage de l’employé pour son anniversaire (si la date de naissance de l’employé est renseignée) et pour sa fête (en fonction du prénom de l’employé).
Les messages d’information permettent d’afficher des informations, avertissement, etc. à l’employé à l’issue d’un pointage. Vous pouvez par exemples le prévenir qu’il doit effectuer telle tâche, lui souhaiter une bonne soirée…
L’activation de l’alerte manuel PTI (protection du travailleur isolé) permet aux travailleurs « hors de vue et hors d’ouïe » d’autres travailleurs (exemples : dans un environnement dangereux, pour des veilleurs de nuit, etc.) de déclencher manuellement une alerte vers le superviseur / manager / société du lieu de travail en cas de problème.
L’activation de l’alerte automatique PTI (protection du travailleur isolé) permet le déclenchement de façon automatique d’une alerte vers le superviseur / manager / société du lieu de travail en cas de perte de verticalité du travailleur. La « perte de verticalité » se déclenche quand le terminal est penché de plus d’un certain angle pendant un certain temps (c’est-à-dire lorsqu’il y a présomption de chute). Cette fonction exige que le terminal soit attaché au travailleur de façon à suivre son attitude corporelle (debout, allongé), typiquement clipsé à la ceinture, ou simplement mis dans une poche.
Liste des types d’envoi d’alerte pour Travailleur Isolé en danger, pour chacun des types de destinataires (vers le superviseur, vers le manager, vers la société et/ou vers la mission). Si rien n’est coché, aucune alerte ne sera envoyée au destinataire. Cochez Email
pour envoyer l’alerte par email, SMS
pour envoyer l’alerte par SMS, Appel
pour recevoir l’alerte par un appel téléphonique.